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La quête de la validation des autres vous pourrit la vie

Nous sommes des êtres humains vivant dans des sociétés, évoluant dans des groupes, répétant des schémas, une éducation. Chercher la validation des autres est un biais naturel ; cela permet de se sentir valorisé, de se sentir aimé. 

Mais dans certains cas, cela peut devenir problématique : en effet, cette recherche constante de l’approbation de nos actes par autrui peut devenir un vrai frein à l’épanouissement personnel. 

Moi la première, j’ai dû apprendre à ne plus chercher la validation des autres pour trouver et suivre mon propre chemin. Cela ne s’est pas fait sans cri ni larme mais c’était nécessaire et c’est encore aujourd’hui assez difficile pour moi de m’en détacher complètement.

Voici mes réflexions et pistes pour vous aider à mettre à distance le besoin de validation, à changer de référentiel pour créer enfin votre propre système de valorisation et de reconnaissance. 

Comment dépasser la peur de l’échec ?

Outils #1 : Se détacher de la peur de ne pas être validé·e·s

Notre besoin de validation est directement hérité du biais d’appartenance. Si les biais cognitifs sont aussi profondément ancrés en nous, c’est qu’ils sont l’héritage de nos sociétés préhistoriques. En effet, à cette époque, la survie de l’être humain était soumise au groupe. Seul, un individu avait moins de chances de survivre. C’est pourquoi, la validation par le groupe et le besoin d’y appartenir est devenu si importante.

Une première mise à distance du biais d’appartenance – et donc de la recherche de validation des autres qui en découle – est de comprendre que ce besoin n’est aujourd’hui plus nécessaire. Dans nos sociétés, notre survie n’est pas mise en danger si l’on déçoit notre entourage ou si l’on prend un chemin quelque peu différent. Ce que je veux dire par là c’est que ce besoin n’est plus aussi vital qu’avant et qu’on peut se permettre d’y accorder moins de l’attention et de le remettre à sa juste place.

Être validé par les autres oui, dans une certaine mesure. Se plier et s’oublier complètement, non !

Outil #2 : Changer de référentiel 

De manière générale, notre besoin de reconnaissance ne se fait pas vis-à-vis de n’importe qui ; on accorde de l’importance au jugement de personnes ou de groupes dits “référents” : nos parents, notre groupe d’ami·e·s, nos collègues.

Ces entités sont reconnues comme ayant une valeur éthique, morale, culturelle ou affective qui les érige en figures d’autorité lorsqu’il s’agit d’être validé. Pour schématiser, plus les personnes sont importantes pour nous, plus leur validation est importante. 

C’est comme ça que les attentes et les valeurs de ces groupes ou personnes référentes deviennent plus importantes que nos propres attentes.

Je l’ai compris quand j’ai commencé à me détacher de la voie admise et connue par mes parents. Leur référentiel (et celui de beaucoup de parents ou même de notre société) suit un schéma classique : grande école / prépa / CDI / grande entreprise. Sortir de ce cadre revenait à décevoir mes parents. 

Mon indépendance financière m’a, dans un premier temps, permis de me détacher de ce besoin de validation. J’ai aussi fait un grand travail sur moi pour changer de référentiel et m’interroger sur mes besoins, mes envies et mes valeurs.

Peut-on réellement vivre de sa passion ?

Outil #3 : Se remettre au centre et définir son propre modèle de validation

J’ai commencé par “faire taire le bruit” en m’éloignant de mes parents et en me rapprochant de ce que je valorisais. J’ai pris le temps de me remettre au centre de mes réflexions, au centre de ma vie et de faire des choix qui étaient bons pour moi. Pas les choix qui seraient nécessairement validés par le groupe.

J’ai découvert qu’en remettant en cause les référentiels transmis par la société, par nos parents ou par le groupe, on ouvre le champ des possibles et on peut réellement apprendre à se connaître. Si vous faites partie de la communauté Misfit, vous savez que c’est un peu notre cheval de bataille. 

Définir son référentiel c’est s’interroger sur ses valeurs, son chemin de vie, son comportement, son mode de vie. Il en découle un référentiel où la reconnaissance et la validation n’est plus détenue par un groupe mais par soi-même : je connais mes besoins donc je connais la valeur des actions que je mène au quotidien. Je m’auto-valide en soi ! 

Je voudrais simplement rappeler que définir ce nouveau référentiel demande du temps, des doutes, des questionnements et que nos sociétés actuelles ne sont pas très fans du droit à l’errance que je revendique haut et fort. Mais j’y reviendrai plus longuement une autre fois !

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