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Avis à toutes les Control Freak : il est temps d’apprendre à lâcher prise

Avis à toutes les control freak ! Si comme moi, vous avez tendance à vouloir tout maîtriser, contrôler et organiser, cet article va vous faire le plus grand bien. Prenez une grande inspiration et plongeons dans le sujet : comment lâcher prise ? 

Pendant des années, on m’a conseillé d’apprendre à lâcher prise. On a l’impression que c’est simple à faire, qu’il suffit de fermer les yeux et de se lancer. La réalité est toute autre. Avant de me lancer dans cet article, j’ai essayé de me souvenir d’un moment où j’avais dû me détacher de mon besoin de contrôle. Lorsque j’ai créé Misfit, ma plus grande difficulté a été d’accepter de me montrer sur les réseaux sociaux. En somme, de passer dans un monde où j’étais complètement exposée sans avoir le contrôle sur mon image, la perception des autres, leur jugement. Une petite chute libre pour la control freak qui gère habituellement mon quotidien. Mais je l’ai fait et finalement, ça m’a apporté plus de liberté que je ne pensais.

Qu’est-ce que ça veut dire concrètement de lâcher prise ? Sur quoi ? Comment ?

comment apprendre à dire non et à poser ses limites ?

Outil #1 : Comprendre le besoin de contrôle

Nous avons des personnalités très différentes. Si vous suivez Misfit depuis quelques temps déjà, vous savez que selon le test MBTI, il n’y a en fait que 16 types de personnalités dans le monde. Les personnalités J sont celles qui ont besoin de structure et de se créer des cadres pour pouvoir atteindre la sérénité. D’autres sont beaucoup plus à l’aise avec l’imprévu, la liberté. Selon ces types de personnalités, il est donc plus ou moins facile d’accepter de lâcher prise.

Selon moi, le besoin de contrôle est lié à une notion de résistance. Saviez-vous que notre cerveau n’est pas fait pour accepter le vide ? Par exemple, vous exercez un métier mais vous voulez changer de voie. Votre cerveau, incapable d’accepter le flou qui entoure votre futur métier, va entrer dans une certaine forme de résistance et savoir exactement ce que vous allez être dans 6 mois, sans accepter le temps du questionnement et de l’incertitude. Dans ces moments-là, vous êtes dans le contrôle. 

C’est assez naturel comme mécanisme même si certain·e·s d’entre nous sont plus à même de gérer l’incertitude du déroulé des événements. Garder le contrôle permet de prévoir les choses, de jalonner le temps avec des étapes précises, établies et qui permettent de rester dans la sécurité. C’est comme un garde-fou avant le précipice. Sans garde-fou, on tombe, certes… Mais on plane aussi un peu. Tout est une question de perspective !

Outil #2 : Remettre la confiance au coeur du process

Lâcher prise c’est donc faire confiance au fait que les choses vont bien aller mais sans appliquer de résistance ou de pression. J’aime bien cette image du précipice. Contrôler c’est vouloir se rattraper à tout prix quand on tombe ; lâcher prise c’est se laisser porter par les vents. 
Sans que ce soit un abandon ! Lâcher prise, ce n’est pas renoncer. C’est pour moi une posture très positive ; on apprend à remettre la confiance au cœur de nos vies.
 
En effet, en creusant un peu, on se rend compte que le contrôle n’apporte pas grand chose. Si j’étais restée murée dans le contrôle de mon image, je ne me serais pas exposée sur les réseaux sociaux et Misfit n’aurait sans doute pas la même résonance auprès de ma communauté. Je crois vraiment que ce qui nous porte dans la vie c’est la confiance que l’on a en nos ressources, nos capacités. On peut même s’en remettre à quelque chose qui nous dépasse : au pouvoir de l’univers par exemple, au destin ou aux planètes qui s’alignent. 

En remettant la confiance au cœur des choses, notre cerveau prend moins de place. Petit à petit, on arrive à se délester du flot incessant de pensées, des injonctions. Ne plus croire au modèle de la pression et de la résistance. C’est une vraie technique de libération. Et vous savez quoi ? Une fois qu’on y a goûté, il n’y a plus de retour en arrière possible.

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Outil #3 : Être dans le moment présent et rester optimiste

Un changement radical s’opère quand on arrête de vouloir tout contrôler. Coupé·e·s des pensées parasites et des scénarios catastrophe, on est alors capable de vivre pleinement le moment présent. Vous avez déjà ressenti que votre cerveau était sur « pause » devant un paysage, un coucher de soleil ? Voilà, c’est ça être dans le moment présent. Et avouez que la sensation est plutôt très agréable. 

Lorsqu’on arrête les projections négatives, qu’on arrête de tout anticiper, on fait de la place en nous pour accueillir un optimisme beaucoup plus porteur. J’en reviens à l’exemple du changement de métier. Au lieu de se dire « Mais qu’est-ce que je vais devenir ? Et si je ne trouve pas ma voie ? Comment je vais payer mon loyer ? », se dire « J’ai toutes les ressources en moi pour faire ce changement, je sais que je trouverai le moyen de m’épanouir. Même si ça prend du temps. » 
De toute façon, vous aurez beau tout anticiper, j’ai compris que dans la vie, rien ne se passera jamais comme vous l’aviez prévu ! 

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